Mon approche consiste à m’emparer de la force expressive du langage de la couleur pour créer et organiser ces teintes dans un souci de composition et d’harmonie. La couleur n’est donc plus au service de la figuration, elle est le centre de mes préoccupations, elle devient mon sujet à part entière.
Nos reproductions sont réalisées en Impression numérique de haute qualité sur papier Photo Quality Satin 240g ou sur Toile water resistant 340g.
Poster d’Art en rouleau
La reproduction est Imprimée sur du 240g puis soigneusement roulée et emballée.
Poster d’Art sur carton plume 5mm
Le carton plume est un panneau léger et robuste. Idéal en décoration. La reproduction imprimée et contrecollée dessus permet de mettre en valeur l’œuvre à des prix imbattables.
Poster d’Art sur toile & châssis clouté
La reproduction est imprimée directement sur une toile 340g puis cloutée sur un châssis. L’effet est saisissant et donne l’impression d’une peinture originale.
Nos reproductions sont réalisées avec le plus grand soin dans le respect de l’œuvre originale
Nos reproductions sont réalisées en Impression numérique de haute qualité sur papier Photo Quality Satin 240g ou sur Toile water resistant 340g.
Poster d’Art en rouleau
La reproduction est Imprimée sur du 240g puis soigneusement roulée et emballée.
Poster d’Art sur carton plume 5mm
Le carton plume est un panneau léger et robuste. Idéal en décoration. La reproduction imprimée et contrecollée dessus permet de mettre en valeur l’œuvre à des prix imbattables.
Poster d’Art sur toile & châssis clouté
La reproduction est imprimée directement sur une toile 340g puis cloutée sur un châssis. L’effet est saisissant et donne l’impression d’une peinture originale.
Nos reproductions sont réalisées avec le plus grand soin dans le respect de l’œuvre originale
Biographie de SokanRed
Mon approche consiste à m’emparer de la force expressive du langage de la couleur pour créer et organiser ces teintes dans un souci de composition et d’harmonie. La couleur n’est donc plus au service de la figuration, elle est le centre de mes préoccupations, elle devient mon sujet à part entière.
Réflexion sur sa démarche « En novembre 1913, lors d’une conférence sur « la couleur et la forme » Henry Valensi se demandait : « De même que le musicien a ses notes, pourquoi ne pas supposer que la couleur, par sa force intrinsèque puisse exprimer la pensée du peintre ? » et il ajoute : « La couleur devient ainsi au peintre, ce que le son est au musicien. »
Si la théorie nous enseigne trois couleurs primaires, la nature nous propose une gamme de sept couleurs (les sept couleurs de l’arc en ciel). Du mélange de ces sept couleurs, plus de dix milles teintes sont déclinables et surtout visibles à l’œil.
Mon approche consiste à m’emparer de la force expressive du langage de la couleur pour créer et organiser ces teintes dans un souci de composition et d’harmonie. La couleur n’est donc plus au service de la figuration, elle est le centre de mes préoccupations, elle devient mon sujet à part entière. La couleur, disait Eugène Delacroix, est par excellence la partie de l'art qui détient le don magique. Alors que le sujet, la forme, la ligne s'adressent d'abord à la pensée, la couleur n'a aucun sens pour l'intelligence, mais elle a tous les pouvoirs sur la sensibilité. Un tableau ne devrait pas avoir besoin d’être expliqué, il devrait susciter des émotions comme le fait une œuvre musicale. Au travers de mes réalisations je m’efforce de susciter ces émotions, l’émerveillement d’une personne devant une toile est certainement l’ultime récompense. » Son parcours Avant 1998, j’ai toujours dessiné, enfant j’aimais cela au-delà de toutes choses. Le dessin était ma matière préférée. Mais il n’était pas question de faire les beaux-arts ou autre école d’art. Artiste peintre n’était pas un métier qui permettait d’entretenir décemment, une famille…Alors par dépit ou par orgueil, je n’ai plus touché un crayon... Enfin presque, puisque étant dessinateur industriel de formation, j’ai continué, mais sans réelle motivation. 1998 sera une année charnière, l’année du « déclic ». Sous la tutelle de Xavier Lafaysse, je découvrais les arts plastiques et la couleur. La couleur qui deviendra ma préoccupation principale. J’essayais tout, ou presque, pour me fixer définitivement à l’huile (voire l’acrylique) sur toile. Je me suis mis à peindre et à exposer. « zhèngtu wài yishjia », l’artiste en dehors de la voie, parcours chaotique, ni école, ni université, un « rat de bibliothèque », un autodidacte, avantage pour certains, inconvénient pour d’autres, mais finalement, n’est-ce pas à vous qu’il revient d’en juger ? Ses motivations Au travers de mes réalisations je m’efforce de montrer que malgré toute attente il y a beaucoup de merveilleux dans notre vie de chaque jour. Mais, faut-il encore le chercher. Ce que je recherche lors de mes expositions ou présentations de mes réalisations, c’est de susciter des émotions, voire l’émerveillement, à l’extrême « j’aime, ou je n’aime pas », rien n’est plus frustrant, voire vexant que l’indifférence. J’essaie de montrer que l’art contemporain est encore capable d’émouvoir, de faire rêver, de créer un « Fantasia » et que l’art, qui demeure inutile pour certains, est en fait indispensable à notre existence. « Regardez les gens courir, affairés, dans les rues. Ils ne regardent ni à droite, ni à gauche, l’air préoccupé, les yeux fixés à terre, comme des chiens ; ils foncent tout droit, mais toujours sans regarder devant eux, car ils font le trajet connu d’avance, machinalement. Dans toutes les grandes villes du monde, c’est pareil. L’homme moderne, universel, c’est l’homme pressé, il n’a pas le temps, il est prisonnier de la nécessité, il ne comprend pas qu’une chose ne puisse pas être utile, il ne comprend pas non plus que dans le fond, c’est l’utile qui peut être un poids inutile, accablant. Si on ne comprend pas l’utilité de l’inutile, l’inutilité de l’utile, on ne comprend pas l’art ; et un pays où on ne comprend pas l’art est un pays d’esclaves et de robots, un pays de gens malheureux, un pays de gens qui ne rient pas, ni ne sourient, un pays sans esprit ; où il n’y a pas l’humour, où il n’y a pas le rire il y a la colère et la haine. […] s’il faut absolument que l’art ou le théâtre serve à quelque chose, je dirai qu’il devrait servir aux gens qu’il y a des activités qui ne servent à rien et qu’il est indispensable qu’il y en ait. » (Eugène IONESCO, Notes et contre-notes)