Ses tableaux deviennent alors abstraits et acquièrent un style novateur grâce à des techniques que JP n’avait pas utilisées jusque-là en peinture: encre, feutre, aérographe en complément des huiles.Il travaille désormais grâce à des diapositives qu'il "maltraitent" avant projection ainsi que des techniques qui donnent un aspect et une texture qu’il n’avait pas rencontrés dans ses œuvres précédente
Ses tableaux deviennent alors abstraits et acquièrent un style novateur grâce à des techniques que JP n’avait pas utilisées jusque-là en peinture: encre, feutre, aérographe en complément des huiles.Il travaille désormais grâce à des diapositives qu'il "maltraitent" avant projection ainsi que des techniques qui donnent un aspect et une texture qu’il n’avait pas rencontrés dans ses œuvres précédente
Ses tableaux deviennent alors abstraits et acquièrent un style novateur grâce à des techniques que JP n’avait pas utilisées jusque-là en peinture: encre, feutre, aérographe en complément des huiles.Il travaille désormais grâce à des diapositives qu'il "maltraitent" avant projection ainsi que des techniques qui donnent un aspect et une texture qu’il n’avait pas rencontrés dans ses œuvres précédente
Né le 21 février 1958 à Lagny-sur-Marne, Jean-PI ESTELA intègre après le bac l’école supérieure d’arts graphique "Estienne" (Paris 13e). Il en sort diplômé quatre ans plus tard, soit en 1978, et commence sa carrière dans la publicité, à une époque où crayons, feutres, pinceaux et tubes de peinture constituaient les outils indispensables à la création graphique.
Il débute donc en 1981 comme dessinateur-concepteur dans un studio de pub puis s’établit en tant qu’illustrateur indépendant en 1986.
Un an plus tard, il cofonde le studio "Cockpit et Carlingue" dans lequel il tient les postes de directeur artistique et directeur création. Il a notamment collaboré à des projets d’envergure comme l’affiche du bicentenaire de la Révolution, et dans des travaux publicitaires pour des particuliers comme Epson, Yves Rocher, Schweppes ou les cigares hollandais Van Holden.
C’est au début des années 2000 que Jean-Pierre quitte le monde de la publicité ainsi que Paris et s’établit dans le Tarn-et-Garonne comme illustrateur artiste peintre indépendant.
Ses œuvres sont alors très diverses dans le sujet et dans le style; elles représentent aussi bien des souvenirs de voyages que des portraits ou des nus.
Après avoir été encadreur entre 2006 et 2010, sa peinture prend un nouveau tournant. Elle subit les principales influences de JP, les impressionnistes Van Gogh et Monet, et profite de son expérience dans la publicité pour la mise en page.
Ses tableaux deviennent alors abstraits et acquièrent un style novateur grâce à des techniques que JP n’avait pas utilisées jusque-là en peinture: encre, feutre, aérographe en complément des huiles.Il travaille désormais grâce à des diapositives qu'il "maltraitent" avant projection ainsi que des techniques qui donnent un aspect et une texture qu’il n’avait pas rencontrés dans ses œuvres précédentes.
Son style devient onirique voire fantasmagorique, sensible et hors du temps.