À travers sa peinture, Danygil cherche à sensibiliser les gens en abordant des thèmes tels que la souffrance, l’espoir et l’amour. Pour réaliser ses œuvres, elle met en œuvre ses propres techniques peinture transmises par son père et mémorisées auprès de lui en utilisant le pinceau, le couteau, la pomme de terre, l’éponge et le grattoir.
À travers sa peinture, Danygil cherche à sensibiliser les gens en abordant des thèmes tels que la souffrance, l’espoir et l’amour. Pour réaliser ses œuvres, elle met en œuvre ses propres techniques peinture transmises par son père et mémorisées auprès de lui en utilisant le pinceau, le couteau, la pomme de terre, l’éponge et le grattoir.
À travers sa peinture, Danygil cherche à sensibiliser les gens en abordant des thèmes tels que la souffrance, l’espoir et l’amour. Pour réaliser ses œuvres, elle met en œuvre ses propres techniques peinture transmises par son père et mémorisées auprès de lui en utilisant le pinceau, le couteau, la pomme de terre, l’éponge et le grattoir.
Danygil est une artiste peintre d’origine française née en mars 1962 à Oran en Algérie. Alors que la guerre d’Algérie touche à sa fin et que l’indépendance du pays est proclamée, les français installés en Algérie sont contraints à l’exode. C’est donc âgé de 4 mois que Danygil, son frère et ses parents se retrouvent obligés de quitter leur maison et sont déportés en France en emportant seulement deux valises, les vêtements portés et le landau de Danygil. L’arrivée sur le territoire français fut très douloureuse, car c’est complètement déraciné qu’ils se retrouvent en France, leur patrie, où ils sont traités d’étrangers.
Malgré les difficultés, c’est au sein d’une famille aimante et unie qu’elle a grandit. C’est par le dialogue et l’échange qu’elle a appris la tolérance, le respect et l’ouverture d’esprit. Issue d’une famille d’artistes (chanteurs, danseurs, musiciens, peintres), c’est très naturellement qu’elle voulut s’essayer à l’art, avec un penchant pour la peinture. Son père, Pierre GIL, décédé en 2002, était un artiste peintre très doué qui n’avait jamais pu faire d’écoles d’art à cause de l’opposition de ses parents et qui, par conséquent, avait appris par lui-même comment peindre. Fonctionnaire, il passait ses temps libres à peindre, au couteau, au pinceau et au pastel. C’est en l’observant pendant des heures que Danygil apprit à dessiner et à peindre à son tour. C’est à 15 ans qu’elle réalisa en cachette dans sa chambre sa première grande œuvre qui fut le portrait d’un cheval avec sa crinière dans le vent au fusain. C’est après l’avoir terminé et en étant pleinement satisfaite de son dessin qu’elle décida de le montrer à son père. Mais elle ne récolta qu’un « Bof, ce n’est pas super. Tu peux faire mieux. ». Très déçue, elle décida alors de ne plus dessiner ni de peindre. Par la suite, elle se tourne vers d’autres domaines artistiques et culturels : la danse, le théâtre, la mode et le cinéma. En 1984, elle décida de partir en vacances à Agadir au sud-ouest du Maroc. Mais ce voyage qui devait durer qu’une semaine est devenu un séjour de treize ans. Pas loin de son pays natal, elle s’est attachée au Maroc qu’elle considère maintenant comme son pays de « cœur ». En effet, c’est là-bas qu’elle rencontra l’homme de sa vie et qu’elle mit au monde leurs enfants. Pendant ces années vécues au Maroc, elle a accompli de nombreuses expériences, que ce soit dans le domaine des affaires que dans le domaine artistique.
En 1997, elle dû retourner en France, à Paris, avec son mari et ses trois enfants avec beaucoup de chagrin et l’envie forte d’y retourner. Dans le 19ème arrondissement de Paris, elle fonde une association, Bulles d’Oxygène, qui aide la population locale notamment les jeunes à l’insertion professionnelle et sociale à travers des activités culturelles et artistiques. Pour financer les actions de l’organisation non lucrative, la Présidente de l’association Bulles d’Oxygène, Myriam ZAINE, veut chercher un artiste qui puisse vendre son travail au profit de l’association ; cet artiste ne sera autre que Danygil.
En juin 2010, après trente trois ans d’absence de pratique et de technique, elle reprend les outils, les peintures et les toiles et recommence à peindre. Depuis, elle a réalisé près de 120 toiles qui reprennent le thème du projet de l’association Terre de Mémoires, une représentation théâtrale et musicale sur le thème de l’esclavage. Ses toiles Terre de Mémoires comportent deux catégories : Terre de Mémoires Afrique et Terre de Mémoires Maghreb/Moyen-Orient. Ses toiles montrent la beauté des cultures orientales et africaines qu’elle affectionne particulièrement. Les peintures Terre de Mémoires Maghreb/Moyen-Orient sont en grande partie inspirées par ses souvenirs, des photos du Maroc, par les paysages et les lieux insolites admirés et surtout par les personnes rencontrées : leur beauté, leur hospitalité, leur vécu.
À travers sa peinture, elle cherche à sensibiliser les gens en abordant des thèmes tels que la souffrance, l’espoir et l’amour. Pour réaliser ses œuvres, elle met en œuvre ses propres techniques peinture transmises par son père et mémorisées auprès de lui en utilisant le pinceau, le couteau, la pomme de terre, l’éponge et le grattoir. Danygil est maintenant une artiste accomplie de plus en plus reconnue qui met à profit son savoir-faire et sa passion au profit des autres.
Danygil is a French painter born in March 1962 in Orian, Algeria. While the war in Algeria came to an end and the country's independence was declared, the French people living in Algeria were forced to flee. It is 4 months old that Danygil, her brother and her parents find themselves forced to leave their home and were deported to France, taking only two suitcases, outfits worned and the pram of Danygil. The arrival on the French territory was very painful, because they felt uprooted in France, in their homeland, where they are treated like strangers. Despite the difficulties, she grew up in a loving and united family. It is through dialogue and exchange that she learned tolerance, respect and openness. Born into a family of artists (singers, dancers, musicians, painters), it is very naturally that she wanted to try the art, with a fondness for painting. Her father, Pierre GIL, who died in 2002, was a very talented painter who had never been to art school because of the opposition of his parents and, therefore, had learned by himself how to paint. Officer, he spent his spare time painting, using the knife, the brush and pastel. This is by observing him for hours that Danygil learned to draw and to paint. At 15 years old she realized secretly in her room her first artwork which was the portrait of a horse with its mane in the wind charcoal. After finishing it and being fully satisfied she decided to show it to her father. But she reaped a "Nah, it's not great. You can do better. ". Very disappointed, she decided not to draw or paint anymore. Thereafter, she turned to other artistic and cultural disciplines: dance, theater, fashion and film. In 1984, she decided to go on holiday to Agadir in southwest of Morocco. But the journey that should last a week became a stay of thirteen years long. Not far from her homeland, she becomes attached to Morocco that she now considers her country's "heart." Indeed, it is there that she met the man of her life and she gave birth to their children. During these years in Morocco, she has accomplished numerous experiences, in the field of business and in the arts. In 1997, she had to return to France in Paris with her husband and their three children with a lot of grief and a strong desire to return. In the 19th district of Paris, she founded an association, Bulles d’Oxygène, which helps local people including youth at the professional and social integration through cultural and artistic activities. To finance the actions of the non-profit organization, the President of the association Bulles d’Oxygène, Myriam ZAINE, wanted to seek an artist who could sell his work on behalf of the association, this artist will be Danygil. In June 2010, after thirty-three years of no practice and technique, it takes the tools, paints and canvases and started painting. Since then, she has completed nearly 120 paintings which take the theme of the project of the Association Land of Memories, theatrical and musical performances on the theme of slavery. Her paintings Land of Memories of two categories: Land of Memories Africa and Land of Memories Maghreb / Middle East. Her canvas shows the beauty of Oriental and African cultures she is fond of. The paintings Land of Memories Maghreb / Middle East are mainly inspired by her memories, by photos of Morocco, by landscapes and unusual places she has admired and especially by the people met: their beauty, their hospitality, and their experiences. Through her paintings, she seeks to educate people by tackles themes such as suffering, hope and love. To achieve her artworks, she implements her own painting techniques provided by her father and saved to him from using the brush, knife, potato, sponge and scraper. Danygil is now an accomplished artist, increasingly recognized, who leverages its expertise and passion to profit association also engaged and invested it.