« Montée » à Paris où en « indépendant » de 1987 à 1992, voit et fait « cent choses avec profit». D’autre part, jouant de la guitare, crée des chansons, et des textes pour bandes dessinées. il découvre l’art de créer à partir de ses fréquentations de musées, galeries et artistes parisiens. Revenus vivre à Castres en février 1993
Exposition des dernières réalisations de format 100X70
J'expose un grand nombre d’œuvre dans l'atelier de Tourrel.
En 2001, à la MJC de Castres-Centre, présente exposition dans le cadre de laquelle « le 2 mars à 21h, performance plastique. Toute la soirée dans la peinture. J-L Portet, entouré de musiciens (...) »
Exposition au Café Vert
En 2000, à la CCI locale et en mai et juin (en deux parties, donc distinctes et successives, d’une même exposition intitulée « Origines »), J-L Portet présente, avec Vilaine Ochain, des œuvres construites sur thème riche des origines de l’humanité, préhistoire et mythologie...Pour J-L Portet, à partir d’un chien, d’un taureau et d’un oiseau « sorti de sa Mythologie personnelle, (...) le taureau a pris, plus que jamais, la vedette(...) »(M.G in Dép. du 24 Juin 2000)
En 2000, à la CCI locale et en mai et juin (en deux parties, donc distinctes et successives, d’une même exposition intitulée « Origines »), J-L Portet présente, avec Vilaine Ochain, des œuvres construites sur thème riche des origines de l’humanité, préhistoire et mythologie...Pour J-L Portet, à partir d’un chien, d’un taureau et d’un oiseau « sorti de sa Mythologie personnelle, (...) le taureau a pris, plus que jamais, la vedette(...) »(M.G in Dép. du 24 Juin 2000)
En Septembre 1999 à la MJc de Castres Centre où l’artiste assure un « happening » original : « (...) le 1er Octobre (...) sous les yeux du public, le peintre réalisera une toile qui sera ensuite découpé en 50 morceaux. Chacun d’entre eux sera vendu 10 francs. J-L Portet donne à cet acte, pour le moins étrange, une portée symbolique : « pour reconstituer l’œuvre, tous les acheteurs devront se rassembler. Cela montre l’importance de chacun dans un collectif (...)»(S.P. in Dép. du 18 sept.1999)
Plurielle exposition « Artarn » en nombreux endroits de Castres.
Plurielle exposition « Artarn » en nombreux endroits de Castres.
Organise une exposition (huit artistes, dont G-L Marchal qui, pour la première fois, montre des panneaux de sa vaste Apocalypse) à la CCI de Castres-Mazamet.
Organise une exposition (huit artistes, dont G-L Marchal qui, pour la première fois, montre des panneaux de sa vaste Apocalypse) à la CCI de Castres-Mazamet.
En 1998. Participe au 10ème salon castrais de Printemps
En 1997, présente, à la mjc de Castres-centre, une exposition intitulé « Brut d’atelier » : vingtaine de tableaux – à l’huile et au fusain, nouveau matériaux pour l’artiste – sur quatre thèmes : Le Sport, La famille, La peinture, et le catharisme...En octobre puis en Novembre de la même année, d’abord seul puis avec Thérèse Brandeau, A.Cabanis, P.Cohn, Ph. Ferrand et V.Portal à la galerie « Pulzzart ».
En 1997, présente, à la mjc de Castres-centre, une exposition intitulé « Brut d’atelier » : vingtaine de tableaux – à l’huile et au fusain, nouveau matériaux pour l’artiste – sur quatre thèmes : Le Sport, La famille, La peinture, et le catharisme...En octobre puis en Novembre de la même année, d’abord seul puis avec Thérèse Brandeau, A.Cabanis, P.Cohn, Ph. Ferrand et V.Portal à la galerie « Pulzzart ».
Sélectionné pour le prix du jeune artiste de moins de 35 ans et expose dans la chapelle de la Sorbonne à Paris.
En 1995, expose seul en Janvier à la MJc de Castres Centre ; puis en mai, sur invitation de « l’Atelier 7 » avec Ch.Dentin et Wil.Ducret.
En 1995, expose seul en Janvier à la MJc de Castres Centre ; puis en mai, sur invitation de « l’Atelier 7 » avec Ch.Dentin et Wil.Ducret.
En 1994, à Lavaur expose en Juillet, vingt quatre œuvres: champs de blé, La belle et le taureau dans l’arène, deux jeunes gens qui se méfient, Masques, les Gueules cassées, Animos à Bobo, Samourails en quatre images, Monségur 16 mars 1244, Saga des masques et de la nuit, etc...En 1994 encore, en décembre expose conjointement en trois lieux castrais : restaurant « Le Vésuve »(rue Emile Zola), « Café de l’Europe (place Jean Jaurès), et MJC de Lameilhé (rue Goya).
Dès Dec.1993 après avoir peint une trentaine d’œuvres, en la galerie que Chérif Zerdoumi ouvrit à Castres chez lui, 4 rue Malpas.
« Montée » à Paris où en « indépendant » de 1987 à 1992, voit et fait « cent choses avec profit». D’autre part, jouant de la guitare, crée des chansons, et des textes pour bandes dessinées. il découvre l’art de créer à partir de ses fréquentations de musées, galeries et artistes parisiens. Revenus vivre à Castres en février 1993
Exposition des dernières réalisations de format 100X70
J'expose un grand nombre d’œuvre dans l'atelier de Tourrel.
En 2001, à la MJC de Castres-Centre, présente exposition dans le cadre de laquelle « le 2 mars à 21h, performance plastique. Toute la soirée dans la peinture. J-L Portet, entouré de musiciens (...) »
Exposition au Café Vert
En 2000, à la CCI locale et en mai et juin (en deux parties, donc distinctes et successives, d’une même exposition intitulée « Origines »), J-L Portet présente, avec Vilaine Ochain, des œuvres construites sur thème riche des origines de l’humanité, préhistoire et mythologie...Pour J-L Portet, à partir d’un chien, d’un taureau et d’un oiseau « sorti de sa Mythologie personnelle, (...) le taureau a pris, plus que jamais, la vedette(...) »(M.G in Dép. du 24 Juin 2000)
En 2000, à la CCI locale et en mai et juin (en deux parties, donc distinctes et successives, d’une même exposition intitulée « Origines »), J-L Portet présente, avec Vilaine Ochain, des œuvres construites sur thème riche des origines de l’humanité, préhistoire et mythologie...Pour J-L Portet, à partir d’un chien, d’un taureau et d’un oiseau « sorti de sa Mythologie personnelle, (...) le taureau a pris, plus que jamais, la vedette(...) »(M.G in Dép. du 24 Juin 2000)
En Septembre 1999 à la MJc de Castres Centre où l’artiste assure un « happening » original : « (...) le 1er Octobre (...) sous les yeux du public, le peintre réalisera une toile qui sera ensuite découpé en 50 morceaux. Chacun d’entre eux sera vendu 10 francs. J-L Portet donne à cet acte, pour le moins étrange, une portée symbolique : « pour reconstituer l’œuvre, tous les acheteurs devront se rassembler. Cela montre l’importance de chacun dans un collectif (...)»(S.P. in Dép. du 18 sept.1999)
Plurielle exposition « Artarn » en nombreux endroits de Castres.
Plurielle exposition « Artarn » en nombreux endroits de Castres.
Organise une exposition (huit artistes, dont G-L Marchal qui, pour la première fois, montre des panneaux de sa vaste Apocalypse) à la CCI de Castres-Mazamet.
Organise une exposition (huit artistes, dont G-L Marchal qui, pour la première fois, montre des panneaux de sa vaste Apocalypse) à la CCI de Castres-Mazamet.
En 1998. Participe au 10ème salon castrais de Printemps
En 1997, présente, à la mjc de Castres-centre, une exposition intitulé « Brut d’atelier » : vingtaine de tableaux – à l’huile et au fusain, nouveau matériaux pour l’artiste – sur quatre thèmes : Le Sport, La famille, La peinture, et le catharisme...En octobre puis en Novembre de la même année, d’abord seul puis avec Thérèse Brandeau, A.Cabanis, P.Cohn, Ph. Ferrand et V.Portal à la galerie « Pulzzart ».
En 1997, présente, à la mjc de Castres-centre, une exposition intitulé « Brut d’atelier » : vingtaine de tableaux – à l’huile et au fusain, nouveau matériaux pour l’artiste – sur quatre thèmes : Le Sport, La famille, La peinture, et le catharisme...En octobre puis en Novembre de la même année, d’abord seul puis avec Thérèse Brandeau, A.Cabanis, P.Cohn, Ph. Ferrand et V.Portal à la galerie « Pulzzart ».
Sélectionné pour le prix du jeune artiste de moins de 35 ans et expose dans la chapelle de la Sorbonne à Paris.
En 1995, expose seul en Janvier à la MJc de Castres Centre ; puis en mai, sur invitation de « l’Atelier 7 » avec Ch.Dentin et Wil.Ducret.
En 1995, expose seul en Janvier à la MJc de Castres Centre ; puis en mai, sur invitation de « l’Atelier 7 » avec Ch.Dentin et Wil.Ducret.
En 1994, à Lavaur expose en Juillet, vingt quatre œuvres: champs de blé, La belle et le taureau dans l’arène, deux jeunes gens qui se méfient, Masques, les Gueules cassées, Animos à Bobo, Samourails en quatre images, Monségur 16 mars 1244, Saga des masques et de la nuit, etc...En 1994 encore, en décembre expose conjointement en trois lieux castrais : restaurant « Le Vésuve »(rue Emile Zola), « Café de l’Europe (place Jean Jaurès), et MJC de Lameilhé (rue Goya).
Dès Dec.1993 après avoir peint une trentaine d’œuvres, en la galerie que Chérif Zerdoumi ouvrit à Castres chez lui, 4 rue Malpas.
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