Je travaille l'aquarelle, l'acrylique et l'encre de chine. Ma peinture est surréaliste, fantastique et parfois érotique. Mes méninges travaillent jours et nuits, une histoire, une vie.
Je travaille l'aquarelle, l'acrylique et l'encre de chine. Ma peinture est surréaliste, fantastique et parfois érotique. Mes méninges travaillent jours et nuits, une histoire, une vie.
Je travaille l'aquarelle, l'acrylique et l'encre de chine. Ma peinture est surréaliste, fantastique et parfois érotique. Mes méninges travaillent jours et nuits, une histoire, une vie.
Je rencontre Hans Bellmer en 1968 dans un atelier, rue de Seine et je fut son élève, puis je me dirigeai vers la Bastille, chez ce lithographe amical, à l'enseigne du Pousse Cailloux, et de là je cheminai jusqu'à Montparnasse chez Mourlot, le meilleur de la place de Paris, disait-on à l'époque, qui savait rendre la tendresse et la fraîcheur de mes dessins.
Des rencontres singulières, je garde une attache parisienne de l'époque du "Mont Parnasse " où les ateliers d'artistes étaient encore bien vivants.
D'autres migrations apparurent...
Nous retrouvons dans mes esquisses, dessins et lavis, les amours de ma jeunesse désinvolte traversée par l'érotisme parfois cru et violent d'un Hans Bellmer, les jeunes filles ambiguës d'un Baltus et la fascination téchnique et surréaliste d'un Dali, sans oublier son premier professeur, Philippe Lejeune.
J'aime mes frères en peinture, images bienveillantes et gardiennes de ma trajectoire.
J'ai toujours été séduit par les corps en mouvement et leur donne vie dans mes esquisses. Mes encres de chine, mes aquarelles arrêtent le temps pour une contemplation jubilatoire.
Inlassablement, j'eassaie de capturer la femme idéale dans son corps désiré, dévoilé ou modelé par des entrelacs de lignes ou de courbes. Inlassablement entr’aperçu dans ma vison ainsi dévoilé de l'image même du désir ; ligne de fuite d'une perspective inachevée.
Je ne suis pas un enfant du dimanche, à qui tout a réussi d'emblée,je n'ai pas le droit de vivre sans devoirs. La tâche qui m'es assignée est pénible, pour moi elle est une lourde croix. Je dois être convaincu que chacun de mes actes, des mes sentiments, de mes pensées est la matière impondérable dont seront mes œuvres? Je ne suis libre que dans art.
François PINNA.